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Can't you see that you're smothering me?!

8 décembre 2004

La vérité c'est que je t'en veux. Je suis en

La vérité c'est que je t'en veux. Je suis en colère parce que tu m'as tué. C'est si stupide, et si injuste, je le sais. Mais j'ai tellement, tellement mal... Dans ma tête je hurle après toi, je te supplie de m'aimer, je tombe à genoux, je pleure, et rien n'y fait, tu ne m'aide pas. Alors je te maudis de m'avoir trouvé, aidé, puis laissé dans une douleur encore plus forte que la précédente et peut-être même que pendant quelques instants, je te hais, toi que j'ai tant aimée et que j'aimerai toujours.

Je pourrais te demander de me pardonner cette haine. Je ne le fais pas. Je sais que tu me pardonne tout le temps de toute façon. Tu sais que c'est parce que je t'aime que je peux te haïr. Je t'aime...
Je pleure sans cesse. Je tremble. Parfois ton image me revient avec tant de précision et de violence que les crampes me coupent en deux jusqu'à ce que je vomisse. Pleurer. Trembler. Vomir. Je meurs. Chaque jour.

Je ne me pardonnerai jamais de t'aimer…
Et je ne te pardonnerai jamais de m'avoir détruite...
Et je t'aimerai toujours…

Je me demande... Te l'ai-je jamais dit ? Oh, non, non jamais.

Pourquoi je ne t'ai pas dit toutes ces choses que je pensais ? Je pensais tellement de choses pourtant.

Il suffisait que tu sois là pour que je sois bien… Je me sentais heureuse à tes cotés, je me disais que le monde n'était pas un endroit si terrible puisqu'il abritait des gens comme toi. Je me disais que vivre n'était peut-être pas si dur.
Je fermais les yeux. J'étais en paix.
Maintenant...
Quand je ferme les yeux, je te revois en train de me faire tellement, tellement de mal

Je voudrais oublier...

Je me remémore sans cesse ton visage, ton sourire, tes gestes mais si je ferme les yeux, le temps d'un battement de coeur, l'image qui revient c'est...
Je ne veux pas me souvenir de toi comme ça.

Comme si on cherchait à effacer de ma mémoire ce que tu étais pour ne me laisser que cette terrible image. Elle me hante. Tu me hantes...
Je voudrais oublier.
...
Oh non…je ne peux pas t'oublier, jamais. Je voudrais que juste que cette image de toi comme ça disparaisse !

Pourquoi ne peux-tu pas revenir et être celle que tu étais avant à nouveau ? Celle dont les yeux brillent. Qui d'un geste, d'un mot, me faisait croire que j'étais la fille la plus heureuse du monde. Si douce, et si forte pourtant. Celle que j'aime. Je t'aime. Si seulement mes mots pouvaient te parvenir, si seulement je pouvais rattraper le temps perdu.
Si seulement je pouvais revenir en arrière.

J'essaye tu sais. Je crois que je vais pleurer encore quelques années, et t'en vouloir encore quelques autres. Quoi qu'il arrive cependant, je ne t'oublierai pas...
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6 décembre 2004

Je te suis, tu me fuis, je te fuis, tu me suis

Je te suis, tu me fuis, je te fuis, tu me suis !!! Comment dois-je réajir !? Comprends-moi !!!

Je ne sais pas du tout ce que je dois faire, je ne sais pas quel tête je dois faire quand tu es là, je ne sais pas comment réajir quand tu m'envoie promener à chaque phrase que je pronnonce devant toi ! On est arrivée toutes les deux sur la même route, et toi qui es plus forte que moi, tu m'a combattue et tu as gagné, je n'ai plus de route, je n'ai plus de vie, je n'ai plus d'avenir…Il n'y a que toi qui peux encore réparer ce que tu as fais, si ce n'est pas trop tard !

Jamais de ma vie je n'ai aimé comme je t'aime, je crois même que je ne savais pas ce que ça voulait dire « aimer quelqu'un », parce que je tombais, enfin je croyais tomber amoureuse de tout le monde ! Dès que je trouvais quelqu'un de beau je tombais amoureuse de cette personne ! Je crois qu'en fait c'est la première fois que je tombe amoureuse !

Et si c'est toujours comme ça alors je préfère ne pas aimer 
6 décembre 2004

Sentiment obscur que ce qui gît en moi est plus

Sentiment obscur que ce qui gît en moi est plus ou moins perçu comme une tare et qu'il me faut veiller à le garder secret…Absolument !

Et cette souffrance à voir ton comportement avec les autres…Ce comportement que tu n'as pas avec moi…Comme rongée par un mal secret d'où il ne sort que mort, souffrance, suicide, jalousie et obsession…

Vite, réponds-moi je suis à bout de souffle !

Je voudrais que quelqu'un m'aide à éclaircire ces idées noires que j'ai. M'aide à répondre à ces questions qui se font de plus en présentes et m'empêchent d'éprouver une nécessaire joie de vivre…

Face à toi je ne pouvais plus retenir mes larmes, alors tu m'as prise dans tes bras et tu m'as consolée…Alors à ce moment là je croyais vraiment me sentir quelqu'un d'important, enfin je me sentais exister ! Je voulais plus jamais te quitter !

Je m'applique à cacher que je souffre, mais je me surprend à sourdement tous les détester… !

Tous les détester de ne pas réussir à lire au fond de mes yeux ma souffrance, les détester pour ne pas me comprendre, les détester pour me dire que je suis trop lunatique et possessive, les détester tout simplement parce que toi tu les adores !
6 décembre 2004

La veille de quitter définitivement l'école, tous

La veille de quitter définitivement l'école, tous se réjouissaient, tandis que moi, je ravalais mes larmes et ce sang transparent qui coulait si vite de mes yeux…

Première circonstance où je me suis sentie autre, différente, comme mise à l'écart…Première vraie blessure qui n'a jamais cicatrisé et qui ne cicatrisera surement jamais…

Mon avenir m'angoisse.

Ce permanent et douloureux besoin de tout te décrire, tout te dire, te dire comme je t'aime et comme j'ai mal de quitter tout ça d'un seul coup…Mais c'est si dur de les pronnoncer devant toi, que je ne peux articuler aucun mot, je suis comme un ordinateur programmé pour te le dire qui bug seulement devant toi…

Faisant dévier mon chemin, tu m'as déchirée, tu as fais de moi une horreur…

Ces mots me pénètrenent, prennent possession de moi…Quelle sera ma vie ? Et ces obscures aspirations et passions qui me travaillent, où vont-elles me conduire ?

Toi qui m'as trouvée et puis qui m'as laissé dans une telle souffrance…

6 décembre 2004

Tu te rends compte que si tu n'avais pas été là,

Tu te rends compte que si tu n'avais pas été là, rien de tout ça ne serait arrivé!!??!!!

C'est la seule façon de m'en sortir ! J'prendrais ma revenche sur toi et ça sera à ton tour de culpabiliser TOUTE ta vie pendant que la mienne n'existera plus !

Je te souhaite bonne chance car tu vas en suer !

Tu t'es fais piégée, tu t'es prise toi-même dans ton propre piège ! Hé oui, puisqu'au bout du compte ce n'est pas toi qui va gagner mais moi !! Ce sera toi la dernière de nous deux qui sera coupable !

Chaque matin quand je me réveille, ton visage est là. Je lui parle, te demande de continuer à me donner des cours…Comment pourrait-tu ne pas accepter ?!

Et aussi te dire que je souffre, que je t'aime. Il faut que tu me viennes en aide, que tu trouve une solution.

Les phrases qui s'écoulaient de tes lèvres, simples, passionnantes, tellement belles. Et qui, bien souvent, exprimait exactement ce que je souhaitais entendre.

Un jour, je souhaite posséder les mots pour le décrire, pour savoir dire ce que j'éprouve…

Parler comme toi, si aisément…Me demander pourquoi je suis toujours triste.

Mon cœur bat encore un peu, juste assez pour finir cette année…Mon sang frappe dans mes tempes et je souhaite éperdument que tu viennes me chercher. Si violent est ce désir que je ne doute pas de te voir apparaître. Les minutes s'écoulent. Cette déception quand il me faut admettre que tu ne viendra pas…Je m'enfuis…

Ce sentiment plaqué contre ma poitrine, prêt à partir au loin mais je le rattraperais, je ne le laisserais pas me laisser planté là comme toi tu as toujours su le faire !!

Rien ne m'étonne plus, me trouble, m'émeut ou me blesse… Plus rien si ce n'est que toi et le désir de te revoir encore une fois…

Mais tout ça c'est si compliqué !

Puis soudain je me rends compte que ma vie n'a pas plus d'importance qu'un brin d'herbe entre tes doigts…Déprimée, je me demande si l'on peut encore continuer de vivre quand on se trouve aux prises avec pareil sentiment, sentiments de honte, d'amour, de haine, de désir…

Moi qui te parlais déjà peu, ça m'oblige à te parler encore moins…Et faire semblant de ne t'avoir rien dit…Je m'oblige envers les autres à ne pas dire ce qui fait tout le poids dans ma poitrine…

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6 décembre 2004

Combien j'aime l'école ! Chaque fois que je

Combien j'aime l'école ! Chaque fois que je m'avance dans la cour, je pénètre dans un autre monde. Et la veille des vacances, alors que les autres, au comble de l'exitation, crient, chantent et chahutent, je quitte l'école en pleurant.

La veille des grandes vacances donc, je quittais l'école en pleurant, moquée par mes camarades. Mais prisonnière de mon chagrin, j'avançais parmi eux en aveugle, hébétée. C'est alors que je ne peux plus cacher ce que j'ai jusque là, obstinément refusé de voir : je vais quitter le collège pour ne plus jamais y revenir !…

Pour ne plus jamais revoir celle que j'ai tant aimé!

Ce monde va soudainement ne plus exister. Ne plus retourner à l'école, ne plus voir mes profs, ne plus jamais te revoir…Alors pour la première fois de ma vie, il me vient le désir de mourir !

6 décembre 2004

Tes yeux immenses. Ton regard doux et patien où

Tes yeux immenses. Ton regard doux et patien où brûle ce feu qui me consume. Ma solitude. Ces secondes indéfiniment où je me détruit à la limite du supportable. Tes mots noués dans ma gorge. Mais à quoi bon partir.

Toute fuite est vaine et je le sais. Personne pour m'écouter, me comprendre, m'accompagner…

Partir, partir et laisser tomber ces chaînes, mais ce qui me ronge encore plus c'est : Comment s'en défaire ?

Au fond de moi cette plainte, ce cri rauque qui est allé s'amplifiant, mais que je méprisais, refusais, niais, et qui au fil des jours, au fil des ans, a fini par m'étouffer. Je sombrais, me laissais vaincre, admettais que la vie ne pourrait renaître. Mais ces instants que je voudrais revivre avec toi…Ces instants où tu m'écoutais patiemment me plaindre et te dire à quel point je t'aimais…Ces instants où toi tu me disais que la vie était belle et qui si je le disais, elle le serait…

Puis comme un coup qui m'aurais brisé la nuque, ce brutal retour au quotidien, à la solitude. Effondrée, incapable de reprendre pied. Me ressusciter, me recréer…Me dire dire au file des ans avec cette lumière qui me portait et qui un jour, pour mon malheur et peut-être le tiens, m'a déchirée.

Je cherches à imaginer que sera ma vie, ce monde dont je souffre de ne pas être avec toi. Ce monde dont je souffre de ne rien savoir…

Ces secondes où je lutte avec moi-même !

5 décembre 2004

14

Mais qu'es-ce que tu as fais ?!?! Qu'es-ce que tu as fais de moi ?!?! J'me hais autant que je t'aime !!! J'en ai marre je veux mourir ! J'en peux plus de cette vie !! Cette fois la coupe est pleine ! J'vais exploser. Si tu savais ce que je vis en ce moment ! J'me demande si je vais m'en sortir de cette merde de vie !!??

Je hais tout le monde !!! Je vous hais !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

« I don't want to be the one ! I know it's not all right!!!"
5 décembre 2004

13

Mais après tout amour qu'es ce que ça veut dire ?

Amour : Inclination envers une personne, le plus souvent à caractère personnel, entraînant des comportements variés => aimer.

Mais quand l'amour ne va que dans un sens et que ce n'est pas réciproque, comment appelle-t-on ça ? Ce n'est pas de l' « amour » c'est de l'enfer !!

Dis-moi…Le sais-tu toi comment est-ce qu'on appelle ce sentiment non réciproque ?! As-tu déjà eu ce sentiment là au fond de toi ? As-tu déjà aimé une fois dans ta vie ? As-tu déjà été seule, déprimée, déchirée, auto-mutilée, une seule fois dans ta vie au point de vouloir en mourir ? Sais-tu combien ça fait mal ?

As-tu déjà aimé une personne qui n'éprouvais rien pour toi ? Tu n'as jamais connu ça n'es-ce pas ?! Alors ne vient pas me faire la morale parce que su ce sujet là je gagne !!

5 décembre 2004

12

Le dictionnaire lui au moins il ne ment pas. Je dois sûrement me trouver dedans. Voilà comment ils me traduisent ? C'est comme ça qu'on crois que je suis quand on me vois ?

C'est vraiment comme ça que je vais finir ? 

Ils m'ont trouvé pas mal de surnoms :

Déchirer : Mettre en morceaux. Causer une vive douleur physique ou morale. Déchirer le cœur de quelqu'un => fendre. Se faire réciproquement du mal, de la peine avec violence. Qui déchire le cœur, émeut fortement.

Dépression : Etat mental pathologique caractérisé par de la lassitude, du découragement, de la faiblesse, de l'anxiété => mélancolie, neurasthénie. Avoir des moments de dépression, être déprimé. Cirse d'abattement.

Déprimer : Affaiblir physiquement ou moralement => abattre, décourager, démoraliser.

Homophobe : Qui manifeste de l'hostilité à l'égard des homosexuels.

Homosexuels : Personne qui éprouve une attirance sexuelle pour les individus de son propre sexe.

Je ne pense pas être homosexuelle. Je n'ai pas d'attirance sexuelle pour toutes les filles !

Je pense plutôt que « lesbienne » me convient mieux.

Lesbienne : Personne qui aime les individus de son propre sexe => homosexuelle.

Mutiler : Altérer dans son intégrité physique par une grave blessure. Détériorer, endommager.

Mutin : Personne qui se révolte avec violence => rebelle

Souffrir : Eprouver une souffrance, des douleurs physiques ou morales. Elle souffre de sa solitude. Avoir bien du mal, peiner. Endurer, supporter.

Mélodramatique : Vas chercher ce mot toi-même comme ça tu sauras vraiment à qui tu as à faire!!!

 

 

5 décembre 2004

11

Toi, toi avec tes yeux bleus si grands et si profonds, toi avec tes cheveux blonds et si longs…

Toi qui es si belle tu mérite pas de me faire souffrir !

J't'aime tant !!!!

Mais en réalité, suis-je une homosexuelle ? Je l'avoue je t'aime, je suis amoureuse de toi mais peut-être que ça ne fais pas de moi une lesbienne…Après tout je ne suis pas attiré par toutes les filles. Mais je préfèrerais être complètement lesbienne plutôt que bi. Parce que les mecs non merci.

5 décembre 2004

10

Moi j'ai rêvé de l'Amour, ça c'est réalisé mais après je me suis retrouvée prisonnière dans une pièce avec l'Amour justement…Où sont les issues de secours ??

Je souffre de ton horrible indifférence envers moi. Es-tu insensible ? Es-tu humaine???!!!!!

Je souffre de te voir ne serais-ce que de regarde quelqu'un d'autre que moi…Je sais, je suis très possessive, même trop ! Je sais je suis lunatique ! Je sais je suis d'une jalousie maladive ! Je sais je suis folle ! Je le sais tout ça !!

En tout cas c'est la dernière fois que je ferais n'importe quoi pour essayer d'être avec toi. J'essaye de tout faire pour te plaire mais toi tu ne vois que le mauvais côté que j'ai…Mais d'ailleurs, vraiment, ai-je un bon côté dans ma putain de vie ?!

Tu m'as empoisonné de toi. Je suis malade d'amour à en mourir. C'est la pire des maladies !

Depuis que je te l'ai dis, tu es complètement différente envers moi. Je crains que tu ais peur de moi…Moi je n'ai pas changé, j'ai toujours les même sentiments pour toi. C'est ta façon de me voir qui n'est plus la même. Tu sais, même avant de t'avoir dévoilé mes vrais sentiments pour toi, je t'aimais déjà comme ça mais seulement toi tu ne le savais pas…Et tu le comprenais pas !

Enfin, tu ne croyais tout de même pas que j'étais fan' de toi ??!! C'est stupide ! Tu vois comment une élève aimer tant que ça sa prof si ce n'est pas par amour qu'elle l'aime ?!

Mais réfléchis, après tous les sous-entendus et tous les poèmes que je t'ai envoyé tu aurais du t'en douter ! Mais non, pas une seconde tu ne le croyais…Et les poèmes, as-tu bien compris qu'ils étaient pour toi au moins ?

Je pars m'enfouir dans mes douleurs les plus profonde…

5 décembre 2004

9

Voici une chanson que j'aimerais bien que tu entendes car je trouve qu'elle me correspond bien : (Je voulais juste rajouter que je hais ton petit copain, car en fait c'est lui qui me fait le plus souffrir au bout du compte).

Voici donc la chanson en question, de Sofia Mestari, « Ce que tu m'as fais » : (J'ai en quelque sorte changé un peu les paroles)

Tu ne veux pas comprendre

Mes S.O.S et mes mots tendres

Et ce reflet merveilleux que t'as posée dans mes yeux

Je pourrais tout entendre

Que tu peux pas défendre

Ni les baisers ni sa bouche qu'il à posé sur tes lèvres

Qu'il a posé sur tes lèvres…

J'essaye mais…

Ce que tu m'as fais

Je t'aime mais…

Ce que tu m'as fais

J'essaye mais…

Ce que tu m'as fais

Je t'aimais…
Je ne l'oublierais jamais…

Je pourrais pas ne plus pleurer

Il faut du temps mais j'arrive pas à m'en sortir

J'essaye de plus compter les heures

Qu'il passe dans ton cœur

J'essaye de guérir la blessure

Mais j'oublierais pas la douleur

Ni le poison du couteau

Que t'as plantée dans ma peau

J'essaye mais…

Ce que tu m'as fais

Je t'aime mais…

Ce que tu m'as fais

J'essaye mais…

Ce que tu m'as fais

Je t'aimais…
Je ne l'oublierais jamais…

Tu pourrais tout me dire

Que tu veux pas me faire souffrir

Que tu ferais n'importe quoi

Pour me guérir un peu de toi

Je ferais tout pour te croire

Mais du fond de ma mémoire

Je me souviens

Que je t'aime à un tel point

Je sais…ce que tu m'as fais

Je sais…ce que tu m'as fais

Sais-tu vraiment ce que tu me fais… ?

Mais pourtant je t'aime, je t'aime

Je t'aime, je t'aime, je t'aime encore

Tu ne veux pas comprendre

Mes S.O.S et mes mots tendres

Pas même ce reflet merveilleux

Que t'as posée dans mes yeux

Je pourrais tout entendre

Que tu peux pas défendre

Ni les baisers ni les rêves

Qu'il à posé sur tes lèvres

Qu'il a posé sur tes lèvres…

Et pourtant, je sais pas

Si j'oublierais cette histoire

Pour ce que tu m'as fais…

Je ne pardonnerais jamais…

Voilà pourquoi je la trouve très touchante cette chanson.

Chaque mots que tu me dis me rempli de joie dès que tu est près de moi. Mais dès que tu t'éloigne, la douleur reviens et les mots que tu dit à propos de ton petit copain sont tel des milliers de poignard qui s'enfoncent de plus en plus en moi.

5 décembre 2004

8

Si c'est ça l'amour, hé bien moi je ne veux pas t'aimer !

Pour moi la seule chose qui rends heureux sur cette terre c'est l'amour, mais ensuite, la seule chose qui fait souffrir, c'est l'amour…Parce que si on souffre loin d'une personne, hé ben c'est bien parce qu'on l'aime, et si on est si heureux près d'une personne, c'est aussi parce qu'on l'aime. Car au bout du compte, tout le monde souffre d'amour, un jour ou un autre.

Si on hais quelqu'un, on l'aime quand même car on s'intéresse à cette personne, puisqu'on aime lui faire du mal. Donc, c'est bien ce que je dis : L'amour est partout !

Je sais qu'un jour tu comprendras vraiment ce que je ressens pour toi. C'est juste que ce jour, je ne sais même pas si je serais là quand il arrivera.

5 décembre 2004

7

En te faisant croire que je voulais me suicider (car j'avais une coupure juste au dessus des veines), tu m'as dit « mais non ne fais pas ça, la vie est super » et tu m'a répéter ça je ne sais combien de fois. Puis tu as fini en me disant « n'oublie jamais que la vie est belle ». Que je meurs ou pas, de toute façon je sais que tu t'en fou, alors à quoi bon…

Voilà pourquoi moi je te réponds, « non la vie n'est pas belle ! et l'amour fait souffrir… ».
5 décembre 2004

6

Je me souviens d'un jour où j'ai été réellement heureuse depuis que je t'ai rencontré. C'était le dernier jour de l'année dernière. Pendant la fête au collège, il faisait nuit. Moi naturellement je ne voulait pas rentrer chez moi. Je t'ai demandé d'écrire un petit mot sur mon tee-shirt. Tu l'as fait et quand tu as eu finit tu as a remarqué que je pleurais. Bien sûr tu savais très bien pourquoi. Tu me consolait un peu…Mais vraiment qu'un peu. Plus tard dans la soirée, j'allais te dire au revoir et j'ai éclaté en sanglot devant toi. C'est à ce moment là que je me suis lancée et tu m'as prise dans tes bras. Si tu savais ce que j'ai ressentis à ce moment… Jamais je n'ai été aussi heureuse de ma vie. Si tu savais ce que tu m'as fais ressentir ce soir là…Comme dirait une chanson : « Le souvenir de ce jour, vaut plus que tout ».

5 décembre 2004

5

Parlons un peu de mes goûts. J'ai quatre passions : la magie, le tennis, le cinéma et la musique. Musicalement j'adore Emma Daumas, Avril Lavigne et Evanescence.

Leur chansons sont superbe car elles parlent toutes de ce que je vis en ce moment.

J'ai besoin d'amour en retour, j'ai besoin d'être aimée. Je n'ai besoin que de ça. Car autrement je ne manque de rien. Enfin plus précisément, j'ai besoin de TON amour pour pouvoir en redonner un peu à ceux qui m'en demande. Aide-moi je t'en prie je t'aime !
5 décembre 2004

4

« Pardonnez-moi mon père parce que j'ai pêché » J'ai pêché d'aimer, j'ai pêché de souffrir!!

Mais j'implore qu'on brise les chaînes qui m'attachent à toi mais pourtant je t'aime.

Tout simplement, je t'aime à mourir. Ca paraît assez simple quand on l'écrit comme ça, mais c'est tellement compliqué si vous saviez.

Je cherche quelqu'un qui pourra enfin me sortir de là.

5 décembre 2004

3

Un cœur qui souffre est un cœur qui saigne. Un cœur qui saigne est un cœur qui meurt. Un cœur qui meurt est une vie qui s'arrête.

Je t'aime plus que n'importe qui au monde. Tu le sais. Enfin je crois que tu le sait, parce que je l'ai assez souvent insinuer. Je t'aime à tel point que même moi je ne peux pas imaginer, bien que tu me fasse extrêmement souffrir.

Tout le monde autour de moi veut que je t'oublie mais j'ai déjà essayer. C'est pire quand tu sort de ma tête.

Je manque atrocement d'amour ces temps-ci. Je n'ai personne sur qui pleurer, personne sur qui compter, personne qui puisse me redonner l'amour que je te donne. C'est un déséquilibre. Moi je t'offre tout l'amour que j'ai, mais en échange je ne reçois rien du tout de ta part, conclusion : mon amour se vide de moi, mon cœur se vide, je me vide…Il ne me reste plus rien.

L'amour c'est la vie, mais quand on a plus d'amour on a plus de vie.

Qui aurait pu penser un jour que je pourrais écrire tout un roman pour dire à quel point je t'aime ?

Je sais que quelque part il existe quelqu'un qui pourra me libérer de toi. Pour l'instant je persiste à croire que c'est toi mon remède. Pourtant tu n'essayes pas de guérir mes blessures.

Je ne comprends pas que tu puisses ainsi torturer ma vie qui avant était si jolie.

5 décembre 2004

2

Je croyais que t'aimer allait m'aider à grandir mais c'est tout le contraire. Car je me fais vieille dans ma tête…J'arrive plus à penser à autre chose qu'à toi !! C'est vrai que tu m'as beaucoup fait mûrir et j'ai enfin compris ce que voulais dire « aimer » et qu'au début j'étais à moitié débile avec toi puisque je te disais pleins de conneries. Maintenant je trouve personnellement que j'ai mûris. Tel une rose, je suis fraîche au début, puis je pique et pour finir je perds mes pétales. Je suis une rebelle. Enfin en tout cas c'est comme ça qu'on m'appelle. Et ça ne me dérange pas du tout. J'aime les rebelles. Je dis que dans la vie il ne faut pas se laisser faire, bien que je dise ça, ça m'empêche de me défendre contre toi.

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